Bonjour,
Cet éditorial paru dans le le N° 27 de Handball, lors de la saison 1959/1960, reprenait une note préliminaire d'un texte fédéral de...................
1955 
L'actualité de l'époque reste, on le constate, d'actualité..........."Voici revenu le temps des AG de Ligue, de Comités et des Clubs. Cet article de 1955 est dédié à tous ceux qui travaillent pour la cause sportive et chacun voudra bien nous excuser du style............"
"C'EST UNE BANDE DE................" Dans toutes les AG, il est rare de ne pas entendre dans le sillage des Dirigeants du jour, des hurluberlus, soucieux de rassembler les déçus ou les pisse-vinaigre, affirmer que décidement oui : les Dirigeants de l'heure sont tous des .......... (ici se situe une épithèque qui va de rigolo, jusqu'au sommet de la grossièreté suivant l'ire ou le manque d'éducation de son auteur)
Etudions donc le cas de ces .............. 
Membre de section, de commission, de comité, de Ligue ou de fédération, ils se donnent corps et âmes, pour l'immense majorité, sans arrière pensée, a la tâche qu'ils se sont fixés : développer leur sport favori. Pour nous,
le HANDBALL 
Prenant pour les plus jeunes, sur leur repos et leurs loisirs et pour les anciens, sur leur santé et leur vie familiale. Ils passent des heures et des heures à concevoir, discuter, réaliser ce qui fera un jour la grandeur de leur sport.
C'est pourquoi, s'ils dénient à n'importe qui le droit de le juger, ils sont quelques fois les premiers, au lendemain de réunions trop longues, parfois décevantes, devant leur miroir reflétant la fatigue, à affirmer
qu'i faut vraiment être un ..... pour faire ce boulot là. (Madame Papy ne cesse de me le rappeler, régulièrement.................)
Mais, qu'on se rassure, ils sont fiers du rôle qu'ils ont accepté et ils savent en réalité, que ce sont eux, qui malheureusement trop peu nombreux, qui font le sport français et pour ce qui nous concerne
le HANDBALL.
La tâche est la, toute prête, le grain est semé et seule la mutiplication des bras fera la moisson fructueuse.
Venez nombreux, les portes sont grandes ouvertes.........
Quant à l'irréductible, celui qui ne veut rien entendre, si ce n'est qu'il s'agit d'une bande de ......, nous voulons dire au braillard, mais qui ne braille qu'aux heures ouvrables, (se réservant ses soirées que pour lui, car il veut rester un consommateur), alors qu'il ne s'étonne pas si ces Dirigeants, disrètement eux, en le voyant passer, sourient dans leur barbe en pensant au proverbe arabe :
"Les chiens aboient, la caravane passe............."Désolé pour la longueur du texte, que j'ai retrouvé dans mon grenier, mais, j'ai eu envie de le faire connaître.
